Cela fera deux mois, le 12 février, que le Haut-Karabakh est coupé du monde et frappé par de graves pénuries. Malgré les appels du gouvernement de Stepanakert à l’UE, celle-ci refuse d’imposer des sanctions à l’Azerbaïdjan, pays représentant une solution de rechange à la Russie pour son approvisionnement en produits énergétiques.