À l’heure où s’écrivent ces lignes, le blocus se poursuit et le Haut-Karabagh reste sous la menace d’un drame humanitaire de grande importance. L’Arménie attend a minima un soutien moral de l’UE en général et de la France en particulier, pour appeler l’Azerbaïdjan à respecter les engagements pris le 9 novembre 2020, afin de laisser ouvert le corridor de Latchine, au-delà de toutes les autres sources de conflit entre les deux pays.